(FXCM.fr) - La décision de la Banque Centrale Chinoise, daugmenter les taux dintérêt de 25 points de base na en rien freiné la dynamique haussière des indices américains, qui ont mené dans leur sillage la majorité des actifs risqués et des bourses européennes. Leuro a lorgné de près le seuil des 1.37 USD avant de revenir ensuite clôturé au dessus des 1.36 USD. La Livre quant à elle a finalement glissé de son range étroit entre 1.6170 USD et 1.61USD pour un plus bas à 1.6025 USD. Les analystes DailyFX France maintiennent une vision neutre avec un biais légèrement baissier sur ces deux actifs.
La session du jour souvre sur un léger regain daversion au risque entrainé par les bourses asiatiques. Les devises des antipodes AUD et NZD sont les premières à pâtir de ce sentiment pessimiste en raison de leur forte corrélation au risque et de lampleur des échanges des deux pays avec lAsie et notamment la Chine. La légère amélioration de lindice de confiance des consommateurs selon Westpac na pas réussi à apporter un soutien de court terme à laussie qui décroche du seuil des 1.01 USD. Pour le dollar néo zélandais, laversion au risque sajoute à des commentaires pessimistes du Ministre des finances qui a indiqué la possibilité dun retour du pays en récession au cours de la seconde moitié de lannée. Dans le cadre de lagenda de la matinée, on notera un léger recul de la balance commerciale allemande de 12 à 11.9 milliards deuros pour le mois de décembre, avec néanmoins des exportations qui se dégradent moins que les importations. Au Royaume Uni, les mêmes effets sont notés avec une dégradation de la balance commerciale visible. Des faiblesses commencent à se faire sentir sur de nombreux actifs à limage de lindice français qui est en territoire négatif, comme une grande partie des marchés à terme américains, au moment de la rédaction de cet article. A noter le discours de Klaus Regling, directeur du programme européen de stabilité financière. Leuropéen se verra surement poser des questions sur le risque de défaut de membres de la Zone euro et des différents moyens mis en place pour lendiguer.
Le calendrier de laprès midi ne sera pas très relevé non plus, les investisseurs tiendront la clé des échanges dans lorientation du sentiment du risque. Celui-ci sera guidé par les interprétations des discours de Bernanke ; le gouverneur de la Réserve Fédérale fera sûrement face à des questions autour du marché du travail ; en effet, rappelons que le dernier NFP a mis en avant une timide création de 36.000 emplois, mais le taux de chômage a tout de même chuté de 9.5% à 9%. La situation difficile du marché du travail et la volatilité des chiffres communiqués explique en partie que la Fed ait déclaré mettre laccent sur linflation plutôt que sur le chômage, afin de ne pas être pris en otage par les réactions des investisseurs.
La session du jour souvre sur un léger regain daversion au risque entrainé par les bourses asiatiques. Les devises des antipodes AUD et NZD sont les premières à pâtir de ce sentiment pessimiste en raison de leur forte corrélation au risque et de lampleur des échanges des deux pays avec lAsie et notamment la Chine. La légère amélioration de lindice de confiance des consommateurs selon Westpac na pas réussi à apporter un soutien de court terme à laussie qui décroche du seuil des 1.01 USD. Pour le dollar néo zélandais, laversion au risque sajoute à des commentaires pessimistes du Ministre des finances qui a indiqué la possibilité dun retour du pays en récession au cours de la seconde moitié de lannée. Dans le cadre de lagenda de la matinée, on notera un léger recul de la balance commerciale allemande de 12 à 11.9 milliards deuros pour le mois de décembre, avec néanmoins des exportations qui se dégradent moins que les importations. Au Royaume Uni, les mêmes effets sont notés avec une dégradation de la balance commerciale visible. Des faiblesses commencent à se faire sentir sur de nombreux actifs à limage de lindice français qui est en territoire négatif, comme une grande partie des marchés à terme américains, au moment de la rédaction de cet article. A noter le discours de Klaus Regling, directeur du programme européen de stabilité financière. Leuropéen se verra surement poser des questions sur le risque de défaut de membres de la Zone euro et des différents moyens mis en place pour lendiguer.
Le calendrier de laprès midi ne sera pas très relevé non plus, les investisseurs tiendront la clé des échanges dans lorientation du sentiment du risque. Celui-ci sera guidé par les interprétations des discours de Bernanke ; le gouverneur de la Réserve Fédérale fera sûrement face à des questions autour du marché du travail ; en effet, rappelons que le dernier NFP a mis en avant une timide création de 36.000 emplois, mais le taux de chômage a tout de même chuté de 9.5% à 9%. La situation difficile du marché du travail et la volatilité des chiffres communiqués explique en partie que la Fed ait déclaré mettre laccent sur linflation plutôt que sur le chômage, afin de ne pas être pris en otage par les réactions des investisseurs.