(FXCM.fr)- L’aversion au risque continue sur les marchés, pénalisant l’ensemble des actifs risqués au profit du billet vert et du yen. Les marchés asiatiques ont poursuivi la baisse des marchés actions entamée lors de la session américaine d’hier, l’indice msci Asie Pacifique perdant près d’un pour cent ; le caractère décevant des chiffres chinois publiés hier n’a pas aidé à un regain d’appétit du risque ; en effet l’inflation s’est révélée en hausse à 4.4% contre un précédent à 3.6%, mettant en avant la probable surchauffe de l’économie moteur de croissance mondiale ; sans compter une chute des ventes au détail attendues en stagnation à 18.8% mais qui s’impriment à 18.6% en termes annuels.
Le sommet du G20 de Séoul qui s’est terminé aujourd’hui a fini comme la majorité de ce type de réunion, le communiqué final se révélant très vague quant aux accords et engagements des grands de ce monde. En ce qui concerne les déséquilibres commerciaux de long terme, les USA ne sont pas parvenus à faire adopter la décision de fixer des cibles et la question de la réévaluation du yen n’a pas été évoquée en termes clairs, laissant le dossier dans les mains des américains et de leurs homologues chinois une fois de plus. Les 20 grands de ce monde ont cependant consenti à conduire un projet sur les déséquilibres qui présentera ses conclusions d’ici le second semestre 2011.
En Allemagne, le PIB s’est révélé supérieur aux attentes des économistes, mais la réaction des traders à ce chiffre encourageant a été relativement faible. En effet les regards se sont détournés du QE2 de la Fed pour se concentrer sur les problèmes de dette souveraine de la Zone euro notamment autour de deux pays, l’Irlande et le Portugal. Il semble de plus en plus urgent que les officiels européens emboitent le pas sur leurs homologues internationaux pour combattre une bonne fois pour toutes le démon de la dette souveraine qui refait surface. Les investisseurs semblent convaincus que l’Irlande à l’image des spreads entre les obligations allemandes et irlandaises qui ont atteint leur plus haut niveau depuis l’introduction de la monnaie unique. Comme ce fut le cas lors de la crise grecque, les yeux sont tournés vers l’Allemagne plus gros contributeur de la Zone Euro sans qui aucune décision ne peut malheureusement se faire.
On retiendra dans le cadre de l’agenda la publication du PIB de la Zone Euro et celle de l’indice de confiance des consommateurs américains compilé par l’Université du Michigan.
Le sommet du G20 de Séoul qui s’est terminé aujourd’hui a fini comme la majorité de ce type de réunion, le communiqué final se révélant très vague quant aux accords et engagements des grands de ce monde. En ce qui concerne les déséquilibres commerciaux de long terme, les USA ne sont pas parvenus à faire adopter la décision de fixer des cibles et la question de la réévaluation du yen n’a pas été évoquée en termes clairs, laissant le dossier dans les mains des américains et de leurs homologues chinois une fois de plus. Les 20 grands de ce monde ont cependant consenti à conduire un projet sur les déséquilibres qui présentera ses conclusions d’ici le second semestre 2011.
En Allemagne, le PIB s’est révélé supérieur aux attentes des économistes, mais la réaction des traders à ce chiffre encourageant a été relativement faible. En effet les regards se sont détournés du QE2 de la Fed pour se concentrer sur les problèmes de dette souveraine de la Zone euro notamment autour de deux pays, l’Irlande et le Portugal. Il semble de plus en plus urgent que les officiels européens emboitent le pas sur leurs homologues internationaux pour combattre une bonne fois pour toutes le démon de la dette souveraine qui refait surface. Les investisseurs semblent convaincus que l’Irlande à l’image des spreads entre les obligations allemandes et irlandaises qui ont atteint leur plus haut niveau depuis l’introduction de la monnaie unique. Comme ce fut le cas lors de la crise grecque, les yeux sont tournés vers l’Allemagne plus gros contributeur de la Zone Euro sans qui aucune décision ne peut malheureusement se faire.
On retiendra dans le cadre de l’agenda la publication du PIB de la Zone Euro et celle de l’indice de confiance des consommateurs américains compilé par l’Université du Michigan.