Les Bourses mondiales ont connu une journée positive lundi, l'Europe, l'Asie et Wall Street terminant sur de bonnes notes alors que les investisseurs anticipaient une amélioration de la situation au Japon même s'ils restent inquiets des événements en Libye.
Les principales places européennes et New York ont enchaîné une troisième séance consécutive dans le vert, confirmant la tendance prise en fin de semaine dernière.
La Bourse de Paris a pris 2,47%, Francfort 2,28% et Londres 1,19%. De leur côté, Madrid a gagné 2,38%, Milan 1,56% et Zurich 2,06%.
A Wall Street, le Dow Jones a engrangé 1,50% et le Nasdaq 1,83%, soutenus par ailleurs par l'énorme offre de l'opérateur téléphonique AT&T sur T-Mobile USA.
Les indicateurs américains du jour n'ont pas pesé sur la tendance, alors que les ventes de logements anciens aux Etats-Unis ont chuté en février après trois mois de hausse.
Les marchés se sont montrés un peu plus optimistes au sujet du Japon, voyant se dissiper progressivement les inquiétudes provoquées par le séisme, le tsunami et le désastre lié à la centrale nucléaire de Fukushima.
"L'excès de pessimisme du début de la semaine dernière est en phase d'être corrigé", a souligné Guillaume Garabédian, gérant chez Meeschaert Gestion Privée. Les risques de catastrophe nucléaire s'éloignent et surtout Tokyo ne semble plus menacé.
Autour de la centrale, les soldats et les pompiers ont utilisé à nouveau lundi matin les canons à eau pour refroidir les réacteurs et éviter que des quantités importantes de radioactivité soient diffusées dans l'atmosphère.
Une fumée grise s'est cependant échappée du réacteur 3 de la centrale, entraînant l'évacuation d'une partie du personnel, qui s'efforce depuis plus d'une semaine de reprendre le contrôle de six réacteurs nucléaires endommagés par une série d'explosions et d'incendies.
Selon la Banque mondiale, le séisme et le tsunami du 11 mars pourraient coûter à l'économie japonaise jusqu'à 235 milliards de dollars (165 milliards d'euros), soit 4% de la production nationale. L'organisation internationale note cependant que la reconstruction aidera rapidement à la reprise.
Les marchés asiatiques ont quant à eux démarré la semaine favorablement, alors que la Bourse de Tokyo était fermée lundi en raison d'un jour férié.
Hong Kong a terminé sur une hausse de 1,73%, Sydney de 0,35%, Séoul de 1,13% et Taipeh de 0,87%.
Shanghai a gagné 0,08%, grâce au secteur de l'énergie et malgré l'annonce vendredi par la Banque centrale chinoise d'une nouvelle hausse de 50 points de base du taux des réserves obligatoires des banques, la troisième de l'année, pour lutter contre l'abondance de liquidités, génératrice d'inflation.
Sur le marché des changes, le yen baissait face au dollar, après son record de la semaine dernière (mercredi à 76,36 yens). Le billet vert valait 81,03 yens vers 20H50 GMT contre 80,59 yens vendredi vers 22H00 GMT.
Les cours du pétrole ont progressé, alors qu'une coalition internationale a entamé des bombardements contre le régime du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, visant dans un premier temps les défenses antiaériennes et les blindés situés près des lignes des insurgés.
Après être monté jusqu'à plus de 103 dollars à New York lundi, le baril de "light sweet crude" pour livraison en avril a pris 1,26 dollar à 102,33 dollars. Celui du brent de la Mer du Nord pour livraison en mai a gagné 1,03 dollar à 114,16 dollars.
"Les prix du pétrole ont progressé à cause des attaques militaires en Libye de la part de la coalition. Des installations pétrolières pourraient être détruites lors de ces frappes ou lors d'actions de sabotage", a déclaré Victor Shum, du cabinet Purvin and Gertz, qui table sur un maintien des prix au-dessus des 100 dollars le baril.
Les Bourses mondiales ont connu une journée positive lundi, l'Europe, l'Asie et Wall Street terminant sur de bonnes notes alors que les investisseurs anticipaient une amélioration de la situation au Japon même s'ils restent inquiets des événements en Libye.
Les principales places européennes et New York ont enchaîné une troisième séance consécutive dans le vert, confirmant la tendance prise en fin de semaine dernière.
La Bourse de Paris a pris 2,47%, Francfort 2,28% et Londres 1,19%. De leur côté, Madrid a gagné 2,38%, Milan 1,56% et Zurich 2,06%.
A Wall Street, le Dow Jones a engrangé 1,50% et le Nasdaq 1,83%, soutenus par ailleurs par l'énorme offre de l'opérateur téléphonique AT&T sur T-Mobile USA.
Les indicateurs américains du jour n'ont pas pesé sur la tendance, alors que les ventes de logements anciens aux Etats-Unis ont chuté en février après trois mois de hausse.
Les marchés se sont montrés un peu plus optimistes au sujet du Japon, voyant se dissiper progressivement les inquiétudes provoquées par le séisme, le tsunami et le désastre lié à la centrale nucléaire de Fukushima.
"L'excès de pessimisme du début de la semaine dernière est en phase d'être corrigé", a souligné Guillaume Garabédian, gérant chez Meeschaert Gestion Privée. Les risques de catastrophe nucléaire s'éloignent et surtout Tokyo ne semble plus menacé.
Autour de la centrale, les soldats et les pompiers ont utilisé à nouveau lundi matin les canons à eau pour refroidir les réacteurs et éviter que des quantités importantes de radioactivité soient diffusées dans l'atmosphère.
Une fumée grise s'est cependant échappée du réacteur 3 de la centrale, entraînant l'évacuation d'une partie du personnel, qui s'efforce depuis plus d'une semaine de reprendre le contrôle de six réacteurs nucléaires endommagés par une série d'explosions et d'incendies.
Selon la Banque mondiale, le séisme et le tsunami du 11 mars pourraient coûter à l'économie japonaise jusqu'à 235 milliards de dollars (165 milliards d'euros), soit 4% de la production nationale. L'organisation internationale note cependant que la reconstruction aidera rapidement à la reprise.
Les marchés asiatiques ont quant à eux démarré la semaine favorablement, alors que la Bourse de Tokyo était fermée lundi en raison d'un jour férié.
Hong Kong a terminé sur une hausse de 1,73%, Sydney de 0,35%, Séoul de 1,13% et Taipeh de 0,87%.
Shanghai a gagné 0,08%, grâce au secteur de l'énergie et malgré l'annonce vendredi par la Banque centrale chinoise d'une nouvelle hausse de 50 points de base du taux des réserves obligatoires des banques, la troisième de l'année, pour lutter contre l'abondance de liquidités, génératrice d'inflation.
Sur le marché des changes, le yen baissait face au dollar, après son record de la semaine dernière (mercredi à 76,36 yens). Le billet vert valait 81,03 yens vers 20H50 GMT contre 80,59 yens vendredi vers 22H00 GMT.
Les cours du pétrole ont progressé, alors qu'une coalition internationale a entamé des bombardements contre le régime du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, visant dans un premier temps les défenses antiaériennes et les blindés situés près des lignes des insurgés.
Après être monté jusqu'à plus de 103 dollars à New York lundi, le baril de "light sweet crude" pour livraison en avril a pris 1,26 dollar à 102,33 dollars. Celui du Brent de la Mer du Nord pour livraison en mai a gagné 1,03 dollar à 114,16 dollars.
"Les prix du pétrole ont progressé à cause des attaques militaires en Libye de la part de la coalition. Des installations pétrolières pourraient être détruites lors de ces frappes ou lors d'actions de sabotage", a déclaré Victor Shum, du cabinet Purvin and Gertz, qui table sur un maintien des prix au-dessus des 100 dollars le baril.