D’après la CRE, 90% des dossiers proposent d’utiliser comme combustible « des déchets issus de la sylviculture ou de l'industrie de transformation du bois ». Les 10% restant envisagent d’avoir recours à des « des déchets de l'agriculture ou de l'industrie agroalimentaire ». La région Bourgone, l'Aquitaine, la Lorraine et Rhône-Alpes concentrent le plus grand nombre de projets.
La Commission dispose désormais d’un délai de 6 mois pour instruire les dossiers et transmettre au ministre chargé de l’Energie une fiche d’instruction sur chaque offre. L'appel d'offres vise la construction de centrales pour une puissance cumulée de 250 mégawatts.