(AOF / Funds) - Dans sa lettre mensuelle, BDL Capital Management répertorie les entreprises et les secteurs dans lesquels il n'investit pas. A la hausse comme à la baisse, le gestionnaire d'actifs détaille ainsi les compagnies d'assurances («nous n'avons pas suffisamment d'idées sur l'évolution de leurs prix»), le secteur des matières premières («nous n'avons pas suffisamment d'idées sur l'évolution de leurs prix» et l'industrie pharmaceutique («nous ne pouvons pas donner une valeur aux produits qui vont peut-être être découverts dans les prochaines années»).
A la hausse, BDL Capital Management écarte les valeurs technologiques, qui «trouvent rarement leurs places dans nos investissements (...) à cause de la déflation sur le prix de leur produit». Le gestionnaire ajoute que leur avantage compétitif est «souvent trop faible». BDL n'investit pas non plus à la hausse sur les entreprises endettées ayant des cash-flows non récurrents et pas ou peu d'actifs tangibles.
BDL dit en revanche "réfléchir" à tous les autres secteurs et à toutes les autres entreprises.