WASHINGTON, December 17, 2010 /PRNewswire/ -- Fannie Mae (OTC Bulletin Board : FNMA) a publié aujourd'hui la deuxième partie de son rapport sur la propriété et la location, 2010 Own-Rent Analysis, avec des mises en évidence des deux derniers des quatre thèmes du rapport : Renting and Owning Behaviors by Race, Ethnicity, and Immigration Status (Comportement des locataires et des propriétaires selon le statut racial, ethnique et d'immigré) et Economics of Owning and Renting Through the Cycle and Across Geographies (Le côté économique de la propriété et de la location tout au long des cycles et selon les géographies). Les points clefs de deux premiers thèmes avaient été annoncés la semaine dernière et se concentraient sur le fait que, malgré la crise immobilière, les américains gardaient un fort désir d'être propriétaire de leur logement. Les points clefs du rapport d'aujourd'hui explorent les attitudes et les comportements par rapport à la propriété parmi les groupes ethniques et les immigrants, ainsi que le côté économique de la propriété et de la location au fil des années et par région.
Selon l'étude, tous les groupes raciaux et ethniques questionnés, ainsi que les immigrants, aspirent fortement à être propriétaires de leur logement, malgré les disparités dans le nombre de propriétaires parmi ces groupes. En outre, si les finances personnelles de ces groupes toujours en croissance s'améliorent, les taux de disparité par rapport à la propriété risquent de disparaître. Cependant, l'analyse a également conclut que si le nombre de propriétaires par race et ethnicité reste constant par rapport au niveau de 2009, le nombre de propriétaires projeté se réduirait toujours plus d'ici 2050.
<< Selon cette étude, nous avons des raisons de croire que le nombre de propriétaires parmi les groupes ethniques et les immigrants seront plus élevés qu'indiqué à l'origine, uniquement de par la croissance projetée de la population raciale et démographique >>, indique Doug Duncan, vice-président et économiste en chef de Fannie Mae. << Nous effectuons régulièrement de telles recherches afin de mieux comprendre les avis des propriétaires et des locataires selon des données démographiques spécifiques afin d'apporter le meilleur soutien possible au marché. >>
Du point de vue géographique, les résidents de Cleveland, Ohio ; Phoenix, Arizona ; et Seattle, Washington ont été questionnés afin de mesurer la différence dans l'attitude et le comportement dans les villes selon des caractéristiques de l'immobilier distinctes. L'analyse a conclut que, malgré des marchés immobiliers considérablement différents et le pourcentage d'emprunteurs hors de la monnaie et défaillants, les trois villes démontraient un même point de vue positif par rapport aux avantages de devenir propriétaire, pour des raisons à la fois financières et de style de vie.
L'analyse sur la propriété et la location de Fannie Mae, 2010 Own-Rent Analysis, se base sur une recherche primaire des propriétaires et des locataires (y compris des groupes de discussion et un sondage quantitatif), sur des données du U.S. Census Bureau et sur des paramètres micro- et macro-économiques, et elle explore les facteurs influençant les décisions des consommateurs d'acheter ou de louer un logement. L'analyse compare les actions, attitudes et considérations financières actuelles des consommateurs au comportement passé des consommateurs, à l'expérience du marché et aux conditions économiques historiques. Les résultats de l'étude ont été publiés par le biais d'une série de rapports thématiques qui répartissent les données par étapes de la vie ; le statut ethnique/racial/d'immigré ; et le statut démographique, géographique, de logement et économique. Les rapports sont disponibles sur http://www.fanniemae.com.
Sommaire des conclusions clés
Résultats ethniques
Selon les prévisions du U.S. Census Bureau, la population devrait devenir plus diversifiée du point de vue races et ethnies, la plus forte croissance de la population provenant des immigrants et de leurs descendants.
- On prévoit que la population américaine croîtra de près de 130 millions de personnes dans les prochaines 40 années. Une grande partie de cette croissance sera menée par les immigrants et leurs descendants. D'ici 2050, les blancs non-hispaniques devraient composer 46 pour cent de la population, comparé à 65 pour cent aujourd'hui.
On voit de fortes aspirations à devenir propriétaire parmi toutes les races, ethnicités et groupes d'immigrants, indiquant que les disparités actuelles au niveau du nombre de propriétaires pourraient ne pas persister dans l'avenir, surtout si les finances personnelles s'améliorent.
- Pour la première génération d'immigrants et les minorités, le pourcentage de participants questionnés ayant l'intention de devenir propriétaire de leur logement s'ils venaient à déménager dans l'avenir est plus élevé que le nombre de propriétaires actuel. - Il y a plus de chances que la première génération d'immigrants et les minorités vivent dans un logement à familles multiples, et qu'ils désirent devenir propriétaire de leur logement actuel. - Parmi tous les sous-groupes questionnés, il y a plus de chances que les africains-américains soient locataires de leur logement ; 52 pour cent des africains-américains sont des locataires, comparés à 41 pour cent chez les immigrants de première génération, 38 pour cent chez les hispaniques et 25 pour cent chez les blancs. - Si le nombre de propriétaires actuel parmi les groupes raciaux et ethniques restent inchangés, le taux de propriétaires en général diminuera de quatre pour cent aux États-Unis d'ici 2050, car les groupes d'immigrants et ethniques actuels démontrent actuellement un taux plus faible en tant que propriétaires par rapport aux non- immigrés et aux blancs.
Les taux par rapport à la propriété convergent quelque soit le statut racial, ethnique ou d'immigré parmi les personnes d'un revenu plus important. Et en ce qui concerne les immigrants, le nombre de propriétaires augmente également selon leur statut aux États-Unis.
- Selon les données du U.S. Census Bureau, parmi les groupes ethniques, les blancs non-hispaniques démontrent actuellement le plus haut niveau en termes de propriété, à 76 pour cent, comparés à 51 pour cent pour les blancs hispaniques, 47 pour cent pour les noirs non-hispaniques et 34 pour cent pour les noirs hispaniques. - Parmi les participants du sondage, les blancs ont prouvé avoir un pourcentage de propriété de 71 pour cent, comparé à 44 pour cent chez les noirs et 53 pour cent chez les hispaniques. Cependant, chez les noirs dont le revenu annuel du ménage se trouvait entre 50 000 $ et 99 000 $, le niveau en termes de propriété a monté à 60 pour cent (comparé à 79 pour cent chez les blancs) et à 63 pour cent chez les hispaniques. - Les immigrants ont tendance à démontrer un taux de propriété moins important mais l'écart se resserre vite au fil des années car le statut aux États-Unis s'améliore. Endéans les 30 premières années qui suivent leur arrivée aux États-Unis, le taux de propriété chez les immigrants rattrape à celui de la moyenne générale du pays.
Résultats géographiques
Bien que le nombre de propriétaires soit assez similaire à Cleveland, Phoenix et Seattle, le prix du logement et le taux de chômage sont variés, contribuant à des marchés immobiliers bien distincts.
- Le nombre de propriétaires est assez similaire sur les trois villes et le plus haut niveau en termes de propriétaires se trouve à Phoenix (66 pour cent) - bien qu'il y ait plus d'emprunts immobiliers par rapport aux autres villes (49 pour cent à Phoenix par rapport à 37 pour cent à Cleveland et 44 pour cent à Seattle). Seattle a prouvé avoir le plus grand nombre de locataires (35 pour cent) des trois villes (33 pour cent à Cleveland et 31 pour cent à Phoenix). - Le prix du logement varie parmi les trois villes. Phoenix a connu la plus forte chute dans les prix de l'immobilier, alors qu'ils sont restés à un niveau assez bas mais stable à Cleveland. Seattle connait les prix les plus élevés et a connu une baisse modérée lors de la crise. - Le taux de chômage est généralement le plus haut à Cleveland et le moins important à Phoenix. - Le taux de défaillance sérieuse est le plus important à Phoenix, à 15,8 pour cent, et le moins important à Seattle, à 7,7 pour cent. - Phoenix connaît le plus haut niveau d'emprunts hors de la monnaie - 41 pour cent des emprunteurs à Phoenix indiquent que le montant qu'ils doivent sur leur emprunt immobilier est d'au moins 5 pour cent de plus que la valeur actuelle de leur maison (28 pour cent des emprunteurs à Seattle et 27 pour cent à Cleveland).
Malgré cet historique différent sur le marché immobilier, les résidents des trois villes ont un même point de vue positif à propos des avantages à devenir propriétaire pour des raisons à la fois financières et de style de vie :
- Par exemple, les résidents de Phoenix ont plus tendance (76 pour cent) a indiquer que, d'après l'état actuel des finances de leur ménage, il vaut mieux être propriétaire, comparés aux résidents de Seattle (69 pour cent) malgré un nombre d'emprunts hors monnaie bien plus important (41 pour cent à Phoenix contre 28 pour cent à Seattle). - De même, d'après l'état actuel des finances de leur ménage, 72 pour cent des participants à Cleveland indiquent qu'il vaut mieux être propriétaire que locataire, comparé à 74 pour cent de la population générale. - Dans les trois villes, les habitants préfèrent dépenser plus d'argent pour devenir propriétaires de leur maison plutôt que de louer. - Dans les trois villes, les résidents sont désireux d'acheter même s'ils ne resteront dans leur maison que brièvement. La moitié des participants pensera à acheter même s'ils ne prévoient rester dans cette maison que deux ans ou moins, y compris 53 pour cent à Cleveland, 51 pour cent à Phoenix et 46 pour cent à Seattle.
Outre l'étude des attitudes et du comportement en termes de propriété par ethnicité, statut d'immigré et géographie, l'analyse s'est penchée sur le côté économique de la propriété par rapport à la location. Selon l'analyse :
La complexité à considérer à la fois les facteurs financiers et de style de vie dans la décision d'acheter ou de louer son logement peut amener certaines personnes à préférer devenir propriétaire plutôt que louer, même si cette dernière option est une décision plus avantageuse sur le plan immobilier.
- Soixante six pour cent des participants trouvent que l'immobilier est un investissement sûr - aussi sûr qu'un compte de retrait individuelle (IRA) ou un plan 401(k). - Plus de la moitié des participants indique qu'ils pensent qu'être propriétaire est une bonne idée, même s'ils pensent ne rester dans la maison moins de trois ans. - Quatre-vingt six pour cent indiquent que les avantages fiscaux sont une bonne raison d'acheter, même s'ils sont peu ou inexistants pour beaucoup de propriétaires.
Méthode du sondage
Penn Schoen Berland, en partenariat avec Oliver Wyman, a mené des entrevues par téléphone avec 2 041 membres de la population générale des États-Unis, plus 1 566 participants supplémentaires de zones géographiques d'intérêt. Pour informer la conception du sondage, des groupes de discussions ont été organisés à Washington, DC et à Phoenix, Arizona de juillet à août 2010. Les entrevues téléphoniques ont été effectuées d'août à septembre 2010. Outre les groupes de discussions et les sondages téléphoniques, une recherche a été effectuée pour évaluer les conclusions du sondage relativement aux expériences passées du marché.
Fannie Mae existe pour développer les logements abordables et pour apporter des capitaux mondiaux dans les communautés locales afin de servir le marché du logement américain. Fannie Mae a une charte fédérale et évolue sur le marché hypothécaire secondaire américain pour améliorer les liquidités du marché hypothécaire en fournissant des fonds aux instituts de crédit foncier et autres prêteurs pour qu'ils puissent prêter aux acquéreurs de logement. Notre mission consiste à aider ceux qui logent l'Amérique.
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