Interrogée par le quotidien britannique, Anne Lauvergeon explique que le groupe dont elle assure la direction serait effectivement en train de travailler sur une nouvelle technologie qui permettrait de détruire les actinides, c'est à dire les éléments radioactifs lourds issus du processus de fission nucléaire en réacteur.
"La question des déchets demeure. A l'avenir, nous serons capables de détruire les actinides en les faisant disparaître dans un réacteur spécial" confie-t-elle au Times. "Nous pouvons déjà le faire en laboratoire. Avec l'aide de la recherche et développement, nous allons nous attaquer à ce problème".