Cette réforme, baptisée loi Nome (Nouvelle organisation du marché de l’électricité), est destinée à attribuer une partie de la production nucléaire d’EDF à ses concurrents, selon les engagements pris par la France au niveau européen (le groupe public domine le marché à plus de 90 %). Selon le Premier ministre François Fillon, il pourrait s’agir de près d’un quart de la production.
Mais rien n’est arrêté : Le prix de rachat, la quantité d’énergie à mettre à disposition, ainsi que la durée du dispositif restent en effet des points à discuter.
Pour accélérer le processus, le ministère de l’Energie et de l’Ecologie serait tenté, selon le journal Les Echos, par une procédure d’urgence : une seule lecture à l’Assemblée nationale et au Sénat. A confirmer…