NEW YORK et AMSTERDAM, June 7, 2011 /PRNewswire/ --
Une étude représentative des 16 pays les plus haut classés en termes de PIB a été réalisée par Letsheal.org et vérifiée par le Prof. Dirk Salomons (Columbia University, New York). Cette étude montre que 64 % des personnes interrogées préfèrent les marques qui aident les consommateurs à aider les autres. Les chercheurs ont relié cela à une quête universelle croissante du sens de l'humanité. L'étude a indiqué que seuls 16 % ne son PAS en quête de sens.
Aider les autres rend la vie digne d'intérêt
74 % affirment qu'aider les autres donne un sens à leur vie. Cette proportion a augmenté de façon significative au cours de ces trois dernières années (37 %), probablement en raison de la crise financière. 59 % des personnes interrogées ont affirmé qu'elles aimaient en faire plus pour les autres, au-delà des dons, mais qu'elles manquent souvent de temps, de ressources, d'énergie et d'inspiration. Les trois domaines d'aide principaux sont : 1) la santé, 2) l'environnement, et 3) les droits des enfants. En Chine, les problèmes environnementaux arrivent en première place.
Vivre une vie digne d'intérêt est important
85 % considèrent qu'il est important de vivre une vie digne d'intérêt, estimant qu'il s'agit d'un besoin basique. Les personnes dont la vie a un sens sont moins déprimées et ont une attitude plus positive.
Les utilisateurs de médias sociaux sont plus sympathiques
Dans tous les pays, les mêmes niveaux d'empathie et de comportement prosocial et attentif ont été observés. Les femmes se sont avérées être plus empathiques. Fait surprenant, les utilisateurs de médias sociaux sont plus prosociaux dans la vie réelle. Ils effectuent davantage de travaux bénévoles et sont plus enclins à offrir leur siège ou à donner des directions.
La quête du sens est un commerce
Les marques prosociales, qui aident les personnes à aider les autres en utilisant leur force de Marketing pour traiter des problèmes de société, sont préférées aux marques ordinaires par une vaste proportion des personnes interrogées (64 %), en raison du sens qu'elles donnent. 68 % préfèrent travailler pour des entreprises prosociales.
Cependant, les 24 000 personnes impliquées dans cette étude ont averti les entreprises aspirant à être prosociales de ne pas voir cela comme de l'argent facile. Les entreprises doivent être responsables, leurs objectifs sociaux ambitieux et transparents, et leur contribution significative. Un cas considéré comme positif est l'exemple de la marque de couches Pampers de P&G, qui s'est engagée à débarrasser le monde du tétanos d'ici à 2013.
Mark Woerde, directeur de recherche, a déclaré : "La vieille loi de 'la survie du plus fort' laisse la place à celle de 'la survie du plus aimable'. Qu'arriverait-il au monde si une fraction des 450 milliards de dollars américains consacrés chaque année à la publicité était attribuée au Marketing prosocial ?"
Pays impliqués dans l'étude (n = 24 000) : AU, BE, BR, CA, CH, DE, GB, ES, FR, JP, IN, IT, MX, NL, RU, US. Les résultats et l'interprétation de l'étude sont téléchargeables gratuitement sur le site : http://www.letsheal.org.