Information réglementée* - 10 février 2011 (07.00 a.m. CET)
Sommaire:
Bénéfice net de 724 millions d'euros au 4e trimestre
favorisé par une position solide sur le marché domestique
KBC clôture les trois derniers mois de 2010 sur un bénéfice net de 724 millions d'euros, par rapport à un bénéfice net de 545 millions d'euros pour le trimestre précédent et 304 millions d'euros pour le trimestre correspondant de 2009. Par conséquent, le bénéfice net de l'ensemble de l'exercice 2010 s'établit à 1 860 millions d'euros, en contraste avec une perte nette de 2 466 millions d'euros en 2009 (qui incluait une perte substantielle au premier trimestre 2009 liée aux CDO).
Le résultat net sous-jacent du trimestre (abstraction faite d'éléments à caractère unique et exceptionnel) s'inscrit à 168 millions d'euros, par rapport à 445 millions au 3Tr2010 et à 218 millions d'euros au 4Tr2009.
Jan Vanhevel, ceo du Groupe : 'Le beau résultat du dernier trimestre de 2010 est dû tant au bénéfice substantiel généré par notre modèle stratégique de bancassurance sur nos marchés domestiques en Belgique et en Europe centrale et orientale qu'aux désinvestissements effectués. Le résultat de 724 millions d'euros au quatrième trimestre s'explique par la hausse des revenus nets d'intérêts et des frais et commissions. Le trimestre a été affecté par un renforcement des provisions pour pertes de crédit en Irlande ainsi que par une provision unique constituée pour un cas d'irrégularités dans les opérations de leasing au Royaume-Uni. Cependant, nos marchés domestiques ont contribué le plus à notre résultat trimestriel, avec de bonnes performances en Belgique et une performance solide en Europe centrale et orientale. Les éléments exceptionnels les plus notables ont été les gains de capital réalisés sur nos projets de désinvestissement et les ajustements de valeur favorables de notre portefeuille de CDO.
Sur l'ensemble de 2010, KBC Groupe dégage un bénéfice net de 1 860 millions d'euros, un résultat qui contraste nettement avec ceux des deux dernières années. Après deux années de pertes, nous renouons donc avec un résultat positif. Notre bénéfice par action se monte à 3,72 euros, en tenant compte du coupon du sur les titres de capital de base vendus au gouvernement belge et à la Région flamande. Nous proposerons dès lors à l'Assemblée générale des actionnaires de distribuer un dividende de 0,75 euro. »
Principales données financières - 4ème trimestre 2010
Jan Vanhevel, CEO du groupe, résume les performances sous-jacentes du 4Tr2010 comme suit :
Les produits bruts augmentent sous l'effet de hausse des revenus nets d'intérêts et les revenus de commissions.
· Les revenus nets d'intérêts sous-jacents s'inscrivent à 1 459 millions d'euros, en hausse de 4%, tant en rythme annuel qu'en rythme trimestriel. Par rapport au 3Tr2010, la marge nette d'intérêts se maintient bien en Belgique et continue à croître en Europe centrale et orientale. En Belgique, le volume des crédits et des dépôts affiche une croissance appréciable. En Europe centrale et orientale aussi, le volume des dépôts s'accroît, tandis que celui des crédits reste stable. La division Merchant Banking continue à réduire son portefeuille de crédits internationaux.
· Les revenus nets de commissions s'établissent à 417 millions d'euros, en hausse de 14% en rythme trimestriel mais en baisse de 7% en rythme annuel. Sans atteindre le niveau d'il y a un an, les résultats trimestriels sont tout de même satisfaisants, dopés par les ventes de contrats d'assurance vie dans la période octobre-novembre, à la faveur d'une campagne de marketing efficace. L'embellie du climat d'investissement a entraîné des adaptations de la composition du portefeuille, qui ont aussi contribué au résultat.
· Le résultat net d'instruments financiers à la juste valeur, qui inclut les activités de la salle des marchés, s'inscrit à 124 millions d'euros, plus du double par rapport à l'année dernière mais en recul de 53% en rythme trimestriel.
· Net de charges techniques et du résultat de réassurance cédée, les revenus techniques d'assurance s'établissent à 103 millions d'euros, en hausse de 94% en rythme annuel et de 14% en rythme trimestriel. Les demandes d'indemnisation de sinistres refluent pour l'ensemble du Groupe. Par conséquent, le ratio combiné du trimestre s'améliore notablement, de 103% au 3Tr2010 à 98%.
· Les autres revenus sont écornés par une provision unique constituée pour faire face à un cas d'irrégularités dans les opérations de leasing au Royaume-Uni, ce poste accusant dès lors un résultat négatif de 96 millions d'euros pour le trimestre.
Les charges d'exploitation restent sous contrôle, les pertes de valeur se creusent sous l'effet de la provision irlandaise
· Les charges d'exploitation se montent à 1 311 millions d'euros pour le quatrième trimestre, en hausse de 6% par rapport au 4Tr2009 et de 8% en rythme trimestriel. Les mesures de compression des coûts prises au sortir de la crise financière ont pleinement porté leurs fruits. Or, par rapport au 3Tr2010, on note des charges de marketing en fin d'exercice (campagne d'investissement) et de quelques charges ICT additionnelles.
· Les pertes de valeur sur crédits se montent à 492 millions d'euros, en recul de 25% en rythme annuel et en hausse de 38% en rythme trimestriel. Pour l'ensemble de l'exercice, le ratio de charges sur crédits s'établit à 0,91% et se répartit comme suit : un excellent résultat de 0,15% pour les crédits aux particuliers en Belgique (statu quo par rapport à 2009), 1,22% pour l'Europe centrale et orientale (1,70% encore en 2009) et 1,38% pour la division Merchant Banking (en hausse de 1,19% par rapport à 2009). Une provision pour pertes de crédit a aussi été constituée en raison du nouveau scénario relatif à l'économie irlandaise, après le programme d'aide mis sur pied par l'UE et le FMI, comme annoncé le 6 janvier 2011.
Capital excédentaire de 4,5 milliards d'euros
· À la fin du trimestre, KBC Groupe a dégagé un capital excédentaire d'environ 4,5 milliards d'euros au-delà de l'objectif de 10% du Tier 1 (y compris l'effet de tous les désinvestissements pour lesquels un contrat de vente a été signé).
Données clés des performances sous-jacentes par division
· La contribution au bénéfice de la division Belgique s'établit à 255 millions d'euros au 4Tr2010, en hausse de 35 millions d'euros par rapport au chiffre du 3Tr2010, principalement sous l'effet de la hausse des revenus nets d'intérêts et de commissions mais aussi des gains nets accrus sur les investissements disponibles à la vente). La hausse des charges d'exploitation n'écorne nullement ce résultat positif.
· Au 4Tr2010 la division Europe centrale et orientale réalise un beau résultat et contribue au bénéfice à hauteur de 131 millions d'euros, en hausse de 78 millions d'euros par rapport au 3Tr2010, qui avait pâti de la comptabilisation unique de la taxe boursière hongroise pour l'ensemble de l'année. La progression substantielle des résultats trimestriels est attribuable aux bons résultats de l'assurance non vie, à une contraction notable des charges d'exploitation et à une forte diminution des pertes de valeur sur prêts et créances.
· La contribution au bénéfice de la division Merchant Banking est négative de 228 millions d'euros au 4Tr2010, en recul de 384 millions d'euros par rapport au trimestre précédent, principalement sous l'effet d'une provision de 125 millions d'euros (après impôts) constituée pour couvrir un cas d'irrégularités dans nos opérations de KBC Lease UK. En outre les charges d'amortissements pour l'Irlande au 4Tr2010 se montent à 0,3 milliard d'euros, par suite de la perte de valeur additionnelle unique occasionnée par l'opération de sauvetage en Irlande. Enfin, les résultats de la salle des marchés restent faibles mais conformes à la tendance du marché.
· Il est à noter que tous les désinvestissements projetés de KBC Groupe ne sont pas inclus dans les divisions respectives mais sont centralisés dans le Centre de Groupe, afin de clairement souligner la performance financière des activités à long terme et des désinvestissements programmés séparément. Au 4Tr2010 le résultat net du Centre de Groupe s'établit à 11 millions d'euros par rapport à 16 millions d'euros au trimestre précédent.
Les gains réalisés sur désinvestissements et les ajustements de valeur dominent les éléments exceptionnels à caractère unique.
· Le trimestre se caractérise aussi par certains éléments à caractère unique ou exceptionnel étrangers au cours normal des activités, par conséquent écartés des résultats sous-jacents. Leur effet combiné sur le 4Tr2010 s'élève à 0,6 milliard d'euros.
· Certains éléments plus modestes mis à part, les principaux éléments non opérationnels au 4Tr2010 sont les gains de capital sur les transactions de désinvestissement de Secura et les activités d'obligations généralement convertibles et de produits dérivés d'actions asiatiques de KBC Financial Products. L'effet combiné de ces deux transactions donne un gain de capital de 0,2 milliard d'euros.
· L'autre facteur déterminant le plus important est la réévaluation de l'exposition aux CDO, de l'ordre de 0,3 milliard d'euros, résultant principalement d'un resserrement des différentiels de crédits corporate entre fin septembre 2010 et la fin de l'exercice.
Exercice complet 2010: résultats point par point
Explications point par point du compte de résultats selon ifrs pour l'ensemble de l'exercice 2010 (voir aussi le sommaire à la page suivante).
· Le résultat net 2010 s'inscrit en boni de 1 860 millions d'euros, par rapport à une perte nette de 2 466 millions d'euros en 2009, exercice fortement plombé par les pertes liées aux CDO et aux actions. Abstraction faite des éléments exceptionnels, le résultat net sous-jacent de 2010 se monte à 1 710 millions d'euros, chiffre quasi identique à celui de 2009.
· Les revenus nets d'intérêts atteignent 6 245 millions d'euros, en hausse de 7% en rythme annuel. Sur une base comparable, les volumes des crédits se contractent conformément à notre intention de réduire notre portefeuille de crédits international. En Belgique, le portefeuille de crédits progresse de 5%, reflet d'une économie qui reprend progressivement. Les dépôts de clients s'inscrivent en hausse de 6%, la Belgique enregistrant +8% et l'Europe centrale et orientale +3%. La marge nette d'intérêts passe de 1,84% en 2009 à 1,92% en 2010.
· En assurance, les primes acquises avant réassurance s'inscrivent à 4 616 millions d'euros, en recul de 5% par rapport à 2009. Sous déduction des charges techniques et du résultat de réassurance cédé, les revenus techniques d'assurance s'établissent à 347 millions d'euros. L'exercice 2010 s'est caractérisé par un niveau relativement élevé des demandes d'indemnisation de sinistres par suite des inondations en Europe centrale et orientale et des mauvaises conditions climatiques en Belgique. Le ratio combiné du pôle assurance s'établit à 100,3% pour l'exercice, par rapport à 100,1% pour 2009. Le résultat avant impôts des activités d'assurance s'améliore sensiblement, revenant d'une perte de 140 millions d'euros en 2009 à un bénéfice de 675 millions d'euros en 2010, principalement grâce aux bons résultats financiers.
· Les revenus de commissions s'établissent à 1 224 millions d'euros, en hausse de 8% en rythme annuel. En 2010 les ventes de produits générateurs de commission ont éclipsé les chiffres de 2009, exercice qui s'est fortement ressenti de la crise financière. En cours d'exercice, les avoirs en gestion sont passés de 205 milliards d'euros à 209 millions d'euros. Cette progression est attribuable au volume net de nouvelles souscriptions.
· Les bénéfices nets sur instruments financiers à la juste valeur (revenus de négoce à la juste valeur) s'inscrivent à -77 millions d'euros, par rapport à -3 485 millions d'euros un an plus tôt. En termes sous-jacents (c'est-à-dire sans les éléments exceptionnels tels qu'ajustements de valeur sur crédits structurés, pertes liées aux activités de KBC Financial Products en voie de liquidation et après imputation de tous les revenus issus du négoce sur cette ligne du compte de résultats), le revenu de négoce à la juste valeur atteint 855 millions d'euros, en recul de 9% en rythme annuel.
· Les composantes restantes des revenus se présentent comme suit: Les revenus de dividendes d'investissements en actions atteignent 97 millions d'euros (contre 139 millions d'euros en 2009); les bénéfices nets réalisés sur actifs disponibles à la vente (actions et obligations) s'établissent à 90 millions d'euros (224 millions l'année dernière) et les autres revenus nets totalisent 452 millions d'euros (par rapport à 427 millions d'euros l'année dernière).
· Les charges d'exploitation s'établissent à -4 436 millions d'euros en 2010, en recul de 7% par rapport à 2009. À l'évidence, l'allégement des charges est attribuable tant au programme de recentrage prévoyant la cession de certaines activités non stratégiques qu'à l'effet continu de la stricte compression des coûts pratiquée à tous les niveaux du groupe. L'exercice 2010 inclut aussi des éléments négatifs tels que la taxe boursière hongroise et le système de garantie des dépôts en Belgique. Le ratio charges/produits sous-jacent des activités bancaires - un étalon de l'efficacité des coûts - s'inscrit à 56%, dans le droit fil de l'exercice précédent.
· Les pertes de valeur refluent de -1 656 millions d'euros, un recul substantiel de 39% en rythme annuel. Le recul est le plus marqué pour les prêts et créances, où la diminution se monte à -1 483 millions d'euros par rapport à -1 901 millions d'euros en 2009. En conséquence, le ratio annualisé de pertes sur crédits en 2010 s'inscrit à 0,91%, en baisse par rapport à 1,11% en 2009. Les autres pertes de valeur totalisent -173 millions d'euros en 2010 et concernent les actifs disponibles à la vente (actions et obligations), le goodwill des filiales et de sociétés associées.
· L'impôt sur le résultat s'élève à 82 millions d'euros pour l'exercice sous revue. Ce montant inclut un actif d'impôts différé de 0,4 milliard d'euros comptabilisé au deuxième trimestre de l'exercice.
· Le résultat net après impôts des activités abandonnées présente un bilan négatif de 254 millions d'euros. Celui-ci inclut les résultats et les pertes de valeur liés à la cession de KBL EPB, regroupés sur une même ligne selon les règles comptables IFRS (les chiffres de référence ayant été ajustés en conséquence).
Fin décembre 2010, le total des capitaux propres atteint 18,7 milliards d'euros, en hausse de 1,5 milliard par rapport au début de l'année. Cette progression est due principalement à la prise en compte du résultat positif de 2010 et à la réduction de la réserve pour réévaluation des actifs disponibles à la vente. Le ratio Tier 1 du groupe - reflet de sa solidité financière - atteint 12,6%. Compte tenu de l'effet de tous les contrats de vente déjà annoncés (par exemple KBL EPB) à ce jour, le ratio tier 1 pro forma se monte à 13,5% environ.
Autres informations
Points forts de la stratégie et principaux développements
· En 2010, le groupe KBC a affiché un solide résultat. Après deux années d'impact négatif de la crise financière sur le bénéfice, le groupe a renoué avec la rentabilité. Le résultat sous-jacent avant réductions de valeur est comparable aux niveaux observés pendant les années qui ont précédé la crise financière, ce qui nous conforte dans l'idée que notre stratégie d'entreprise porte ses fruits.
· La mise en uvre de notre plan de recentrage stratégique s'est poursuivie au quatrième trimestre. Les désinvestissement de Secura, vendu à QBE, ainsi que des activités d'obligations convertibles globales et de produits dérivés d'actions asiatiques de KBC Financial Products, reprises par Daiwa, ont été finalisés au dernier trimestre 2010, générant une plus-value de 0,2 milliard d'euros. De même, les désinvestissements de KBC Peel Hunt, de KBC Asset Management Ltd en Irlande, du portefeuille Life Settlement de KBC Financial Products et de KBC Business Capital ont tous connu leur finalisation au dernier trimestre 2010. Les dossiers restants devraient être clôturés dans les prochains mois. La réduction des actifs (pondérés par le risque) s'est également poursuivie au quatrième trimestre, essentiellement au niveau des activités de KBC Financial Products et conformément au plan. Certaines sociétés, comme KBC Bank Deutschland, ont également été désignées pour un désinvestissement dans le cadre de la réduction prévue du portefeuille international de crédits. Les préparatifs de lancement en bourse d'une partie de notre filiale bancaire tchèque sont en bonne voie et le programme d'introduction en bourse sera lancé dès que les conditions seront jugées favorables. Le processus de vente de nos canaux de vente complémentaires en Belgique (Centea et Fidea) se poursuit conformément au plan.
· Comme il a déjà été souligné à plusieurs reprises, KBC a l'intention de rembourser les titres du capital de base émis en faveur de l'État, principalement par des retenues sur le résultat et par la libération de capital engagé dans des actifs secondaires, dont le désinvestissement ou l'abandon est projeté. KBC a aussi l'intention de maintenir un ratio de capital Tier 1 de 10%, dont 8% de capital de base, conformément aux règles de Bâle II en matière d'adéquation du volume de capital des banques.
· Compte tenu de l'évolution de la situation économique de l'Irlande après le plan de sauvetage financier de l'UE et du FMI, KBC a décidé d'acter des réductions de valeur supplémentaires pour ses opérations irlandaises. Compte tenu du scénario économique actuel et du modèle révisé de notre portefeuille de crédits, les provisions pour réductions de valeur sur crédits du quatrième trimestre pour l'Irlande s'élèvent à quelque 0,3 milliard d'euros (net), ce qui donne au total 0,5 milliard d'euros pour l'ensemble de l'exercice 2010.
· Au quatrième trimestre, les organes de contrôle interne de KBC Lease UK ont relevé des irrégularités commises dans certains contrats conclus entre cette entité de KBC et des tierces parties. Le montant (potentiel) net maximum des irrégularités est estimé actuellement à 125 millions d'euros. Une provision a été constituée à hauteur de ce plafond. KBC a d'ores et déjà pris certaines mesures légale préventives jugées nécessaires pour protéger ses intérêts et maximiser le redressement. En outre, une demande d'indemnisation a été adressée à l'assurance en vue du recouvrement des montants exposés.
· L'exposition des organismes financiers à certains emprunts d'État a de nouveau suscité l'inquiétude au 4ème trimestre. A ce propos, il convient de mentionner que, par suite d'une nouvelle réduction du portefeuille bancaire et de négoce, l'exposition de KBC aux obligations souveraines grecques a été ramenée à 0,6 milliard d'euros au 31 décembre 2010. Des informations plus détaillées sur l'exposition de KBC aux obligations souveraines de l'Irlande et de certains pays du Sud de l'Europe sont fournies à la section États financiers consolidés du rapport trimestriel.
· À la prochaine Assemblée générale annuelle qui se tiendra le 28 avril 2011, il sera proposé aux actionnaires de verser pour l'exercice 2010 un dividende de 0,75 euro par action (avant impôts) (sous réserve d'approbation par l'Assemblée générale).
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